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Le briefing politique essentiel du matin.
Par ANTHONY LATTIER
Avec PAULINE DE SAINT REMY, ELISA BERTHOLOMEY et SARAH PAILLOU
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SOUVIENS-TOI L’ÉTÉ DERNIER. Vos playbookeurs préférés, comme on dit chez nous, se réveillent en ayant un peu mal aux cheveux — la faute à la soirée de rentrée annuelle de POLITICO en France, troisième du nom, qui a eu lieu hier soir sur les bords de Seine, avec plus de beau linge que jamais (on vous en parle plus bas) malgré la pluie. N’empêche que notre moral est au beau fixe : c’est aujourd’hui que nous allons récupérer les premiers exemplaires du livre sur lequel nous avons secrètement planché pour vous cet été. Il est intitulé “La Surprise du chef” et paraîtra aux éditions DENOËL le 9 octobre prochain.
Ce premier playbouquin, pardon, ce tout tout premier livre POLITICO revient, sous forme de carnet de bord et dans les moindres détails, sur la campagne des législatives anticipées, depuis le choc de l’annonce de la dissolution le 9 juin au soir jusqu’au lendemain du second tour à l’Elysée. De la genèse de la décision d’Emmanuel Macron à la “guerre des récits” qui s’en est suivie … des premières heures de tractations nocturnes à gauche à la création du NFP … du coup de force d’Eric Ciotti au crash du “plan Matignon” côté RN … du “plutôt Bardella à Matignon que Le Pen à l’Elysée” d’Emmanuel Macron à sa défense du front républicain … rien ne nous a échappé.
Si vous êtes curieux, vous pouvez déjà jeter un œil à la couverture de l’ouvrage et même le précommander ici. Bonjour à toutes et à tous. Nous sommes jeudi 26 septembre 2024.
DANS LE MÊME BATEAU. Nombreux sont donc ceux qui, après avoir ôté leur K-way, se sont pressés sur la péniche battant pavillon POLITICO hier soir. En vrac : les ministres Agnès Pannier-Runacher et Maud Bregeon, des ex dont Olivier Dussopt, Clément Beaune, Christophe Béchu et Sarah El Haïry, ainsi que plusieurs dizaines de députés dont Denis Masséglia, Arthur Delaporte, Céline Hervieu, Dominique Potier, Léa Balage El Mariky, Nicolas Bonnet, Céline Calvez, Pierre Cazeneuve, Cyrielle Chatelain, Cyrille Isaac-Sibille, Tiffany Joncour, Constance Le Grip, Antoine Léaument, Hanane Mansouri, Claire Marais-Beuil, Marie-Noëlle Battistel, Eric Martineau, Philippe Bonnecarrère, Christophe Plassard, Raphaël Schellenberger, Thierry Sother, Paul Midy, Yannick Neuder, Valérie Rossi, et bien d’autres.
Mais encore : des sénateurs dont Xavier Iacovelli, Hervé Marseille, Hervé Reynaud, Sylvie Valente Le Hir et Pierre-Jean Verzelen et des eurodéputés dont David Cormand, Valérie Hayer et Marie-Pierre Vedrenne.
Là aussi : les élus parisiens Pierre-Yves Bournazel et Aminata Niakaté, le conseiller du président Jonathan Guémas, les ex de Matignon Mayada Boulos et Charles Hufnagel, l’ex-sénateur Pierre Charon, l’ex-député Bertrand Pancher, la directrice de la communication de Paris 2024 Anne Descamps, et les ambassadeurs Georges Habsbourg-Lorraine (Hongrie) et Marc Ungeheuer (Luxembourg).
VU : un débat animé entre les députés Pierre Cazeneuve (EPR), Antoine Léaument (LFI) et l’ex-candidat aux législatives Loïc Signor … un conseiller parlant de Christophe Béchu comme du “meilleur homme politique de sa génération” … des ex-collaborateurs de politiques à la recherche de nouveaux horizons professionnels … des échanges de vue un brin moqueurs sur le casting gouvernemental …
LA PUNCHLINE : “Je préfère mourir paratonnerre que girouette”, signée d’un Marcheur de la première heure, refusant de lâcher Emmanuel Macron pour un concurrent.
L’OPINION LA MIEUX PARTAGÉE : “Le gouvernement Barnier, dans trois mois, c’est fini.”
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VIVEMENT LA VACANCE. On le sait, les procédures de l’Assemblée ne manquent jamais de surprises et les distributions de postes jamais de péripéties. Ce qui fait causer au Palais-Bourbon cette semaine : le remplacement de la vice-présidente de l’Assemblée, la LR Annie Genevard, devenue ministre de l’Agriculture.
Point technique : l’élection d’un nouveau ou d’une nouvelle vice-président(e) doit être convoquée par la présidente de l’institution Yaël Braun-Pivet. Mais pour cela, il faut que la titulaire du poste — Annie Genevard donc — ait présenté sa démission de la “VP”. Or, à l’heure où votre infolettre se resservait une coupette, pardon, mettait un point final à l’édition du jour, ce n’était toujours pas le cas.
Pourquoi ça traîne. Même les moins passionnés de politique d’entre vous l’auront remarqué : la situation parlementaire actuelle n’est pas des plus stables et le gouvernement Barnier est à la merci d’une censure de l’Assemblée nationale. Imaginons que Genevard démissionne dès maintenant de la vice-présidence et que le gouvernement soit censuré dans les jours à venir ; redevenue députée du Doubs, l’élue ne serait pas assurée de retrouver son poste de Veep, comme disent nos amis anglo-saxons. Préférant ne pas insulter l’avenir, le groupe Droite républicaine (DR, ex-LR) ménage donc ses arrières et ne montre pas, pour l’heure, un grand empressement à faire parvenir le courrier de démission.
Dans les starting-blocks. Très “consciente” (selon les mots d’un conseiller parlementaire) de la tactique de DR pour gagner du temps, Marine Le Pen a demandé, en conférence des présidents mardi, “que la démission arrive vite pour que les élections aillent vite”, nous racontait le même. Il faut dire que les autres groupes espèrent tirer profit de la situation et récupérer ladite vice-présidente — qui avait fait l’objet d’un deal entre Laurent Wauquiez et Gabriel Attal en juillet, au moment de la répartition des postes.
Ils veulent leur part. Le RN, par exemple, qui n’en a obtenu aucun cet été (ce qu’Emmanuel Macron et Yaël Braun-Pivet, entre autres, avaient regretté), a déjà annoncé qu’il présentera un candidat. “Hélène Laporte ou Sébastien Chenu”, vice-présidents avant la dissolution, nous soufflait un cadre du parti à l’heure du déj’ hier. Mais ils ont peu de chance d’être élus. “Le RN sait qu’il ne peut pas gagner aux voix sauf à s’allier avec le NFP”, comptait notre conseiller parlementaire, pas dupe de la stratégie à venir du parti à la flamme. “Ils vont faire leur numéro pour dire qu’il faut leur laisser le poste et pour se victimiser”, anticipait-il.
Si c’était un DOM. De son côté, le groupe Liot, composé d’ultramarins et de centristes, a aussi décidé hier de présenter un candidat, en la personne d’Olivier Serva, député de la Guadeloupe. “Il serait bien que pour une fois qu’il y ait un vice-président ultramarin, ça n’est jamais arrivé”, s’est-il épanché auprès votre infolettre.
PAS CONFIANCE. Et pourquoi Michel Barnier ne se soumettrait-il pas à un vote de confiance de l’Assemblée après son discours de politique générale mardi prochain ? L’idée saugrenue — ni Elisabeth Borne, ni Gabriel Attal ne s’y étaient risqués — nous était soumise hier par l’un des ténors de la nouvelle majorité relative.
La minorité silencieuse. Voilà qui “permettrait de compter les contre”, argumentait ce député. Autrement dit, d’établir qui est réellement dans l’opposition au gouvernement et qui est dans une position d’attente. Ainsi le RN, ayant décidé de laisser vivre ce gouvernement un certain temps, pourrait logiquement s’abstenir. Ce que nous confirmait un cadre du groupe lepéniste hier à qui nous soumettions l’hypothèse (et qui nous précisait que son groupe n’en avait pas discuté).
Malgré cette abstention potentielle, le risque serait grand de voir le gouvernement ne pas obtenir la confiance, et donc de tomber.
D’une part, la majorité relative devra faire sans les 18 voix des députés devenus ministres et dont les suppléants ne peuvent pas encore siéger. Le total des élus de la coalition tomberait alors à 194, soit une voix de plus que l’ensemble des députés de gauche du NFP.
D’autre part, il y aurait une incertitude sur l’attitude des 22 députés Liot. Bien qu’il se dise “constructif”, le groupe se considère toujours comme étant dans l’opposition. Ses représentants ont d’ailleurs décliné l’invitation de Michel Barnier, hier, à la réunion des cadres de ce qu’il faut désormais appeler le “socle commun” (droite et macronistes).
Le prono de Playbook : Michel Barnier ne devrait pas se risquer à demander un vote de confiance.
LE CAS CETA. C’est un de ces exercices d’équilibriste auxquels Emmanuel Macron devra s’habituer. Le président s’entretiendra dans la matinée (heure d’Ottawa) avec Justin Trudeau lors de sa visite au Canada. Il devra défendre le CETA… sans être sûr de pouvoir compter sur le soutien du nouveau gouvernement.
Rappelez-vous : l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada avait été rejeté en mars dernier par les sénateurs. Or, parmi ceux qui avaient voté contre, on trouve Sophie Primas, nouvelle ministre… au Commerce extérieur. Sa collègue à l’Agriculture, Annie Genevard, s’était elle-aussi opposée à l’accord lors d’un vote à l’Assemblée en 2019.
Test pour LR. Dans le camp présidentiel, on espère que la droite va revenir à la raison. “On verra si le passage de l’opposition parlementaire au gouvernement change leur rapport à la responsabilité”, faisait valoir Roland Lescure, député macroniste des Français de l’étranger, auprès de mon collègue Giorgio Leali. “Si les LR changent d’avis, tant mieux, mais quelle hypocrisie”, s’exclamait le conseiller d’un autre ministre sortant.
La main sur l’agenda. Le gouvernement joue un rôle clé dans la validation de l’accord : c’est à lui de remettre une éventuelle ratification à l’agenda de l’Assemblée (le gouvernement Attal avait joué la montre), puis de notifier (ou non…) un éventuel rejet à Bruxelles. Tous les détails dans cet article (en anglais).
TOTAL ET LE CAUCHEMAR MOZAMBICAIN. Des hommes battus, asphyxiés, affamés, torturés, poignardés et exécutés sur le site d’une usine Total au Mozambique. C’est ce que révèle une enquête du journaliste indépendant Alex Perry publiée par POLITICO sur des faits datant de l’été 2021. Grâce aux récits de survivants, témoins et voisins des victimes, il a pu reconstituer les atrocités commises par des soldats mozambicains, dont la mission était de protéger “le projet de Total”, selon leur commandant.
Tuerie de masse. Ces militaires ont rassemblé les villageois, séparé les hommes des femmes et des enfants, puis ont entassé le groupe comptant 180 à 250 personnes dans des conteneurs à l’entrée de l’enceinte d’une gigantesque usine de gaz naturel en train d’être construite par TotalEnergies. Seuls 26 d’entre eux ont survécu. Maxime Rabilloud, directeur général de Mozambique LNG, la filiale de TotalEnergies dans le pays, a déclaré que son entreprise n’avait “aucune connaissance des événements présumés décrits” ni “aucune information indiquant que de tels événements ont eu lieu”.
La stratégie de Pouyanné en question. Le projet était censé être la vitrine des ambitions de Patrick Pouyanné, le PDG de Total, pour un avenir à faible émission de carbone. Alors que l’entreprise est déjà visée par une enquête préliminaire sur une autre attaque perpétrée à proximité de son site, ce dernier risque de devenir le symbole des nouveaux risques juridiques auxquels s’exposent les majors du pétrole. L’enquête est à lire en accès libre ici.
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Emmanuel Macron continue son voyage officiel au Canada. Il s’entretient avec Justin Trudeau à 10h30 (heure locale) à Ottawa. Il arrive à Montréal à 13h15, tient une conférence de presse conjointe avec Justin Trudeau à 15h30, s’entretient avec François Legault, Premier ministre du Québec à 17 heures puis remet des insignes de la Légion d’Honneur à Hélène Desmarais, présidente d’HEC Montréal à 19h45.
Michel Barnier s’entretient avec Cyril Chabanier, président de la CFTC à 14 heures, avec François Asselin, président de la CPME à 15h45 et avec Michel Picon, président de l’U2P à 18 heures.
Catherine Vautrin est toute la journée à Strasbourg pour le congrès des régions de France. Elle participe à une réunion avec les présidents de régions à 8h30 avec Françoise Gatel. Elle prononce un discours pendant la conférence finale qui débute à 14 heures. Agnès Pannier-Runacher participe au petit-déjeuner avec Gabriel Attal avec les ministres EPR à 8h30, s’entretient avec Sylvain Waserman, président de l’Ademe à 10h30, avec Paul Delduc, chef de l’Igedd à 14 heures, avec Olivier Thibault, directeur général de l’Office français de la Biodiversité à 15 heures, prononce le discours de clôture du Congrès français de la Nature 2024 organisé par l’UICN à 16h15, avant de s’entretenir avec Pascal Berteaud, directeur général du Cerema à 18 heures. François Durovray est au siège de la région Ile-de-France afin de signer le Contrat de plan Etat-Région Mobilité aux côtés de Valérie Pécresse à midi, avant de se rendre sur la ligne 14 du métro parisien à partir de 14h45, avec Jean Castex. Rachida Dati est en déplacement à La Rochelle. Elle visite la Tour Saint-Nicolas à 9h45 et se rend sur le chantier des Francofolies à 11 heures. Anne Genetet et Alexandre Portier se rendent à Serris, à l’école Henri Matisse à 10h30, puis au lycée Émilie du Châtelet à 11h25. Marina Ferrari est aux rencontres du réseau ADN Tourisme à Troyes à partir de 8h50. Nicolas Daragon se rend à 13 heures au 130e congrès national des sapeurs-pompiers à Mâcon.
Yaël Braun-Pivet s’entretient avec une délégation du Congrès de la Nouvelle‐Calédonie.
Gérard Larcher se rend à 11 heures au congrès des régions de France.
Marine Tondelier est en déplacement à Rouen. Elle participe à un débat dans le cadre du Climat Libé Tour à 11 heures. Elle se rend à la mobilisation avec les élus écologistes mobilisés devant le site de Lubrizol à 16h30, avant de se rendre devant le Palais de justice de Rouen avec les syndicats à 18 heures.
Assemblée nationale : les membres de la mission d’information sur les urgences psychiatriques se réunissent à 18 heures.
Sénat : Xavier Iacovelli présente les conclusions du rapport de la mission d’information sur le thème : “Complémentaires santé, mutuelles : l’impact sur le pouvoir d’achat des Français” lors d’une conférence de presse à 8h30.
7h15. France 2 : Marie Evo, architecte urbaniste, co-directrice du Cepri.
7h40. TF1 : Philippe Ballard, porte-parole du RN … France 2 : Thomas Ménagé, député RN du Loiret … RTL : Manuel Bompard, coordinateur national de LFI … RMC : Nicolas Ropert, envoyé spécial RMC au Liban et Jean-Paul Chagnollaud, politologue et président de l’IReMMO … Public Sénat : Renaud Muselier, président du conseil régional de Paca.
7h45. Franceinfo : non communiqué … Radio J : Céline Hervieu, députée PS de Paris.
7h50. France Inter : Sandrine Rousseau, députée ES de Paris.
8h00. Public Sénat : Carole Delga, présidente du conseil régional d’Occitanie.
8h10. Europe 1/CNEWS : Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme.
8h15. France 2 : Gérôme Billois, expert en cyberattaque … Radio Classique : Caroline Fourest, essayiste, autrice de “Le Vertige MeToo” … RMC : Vincent Drezet, porte-parole d’Attac France.
8h20. France Inter : Rym Momtaz, chercheuse consultante à l’International Institute for Strategic Studies, Frédéric Encel, docteur en géopolitique, maître de conférence à Sciences Po, Dominique Eddé, romancière et essayiste libanaise et Pierre Servent, expert en stratégie militaire et spécialiste des questions de défense… RFI : Virginie Ruffenach, vice-présidente Le Rassemblement – Les Républicains du Congrès de la Nouvelle Calédonie.
8h30. Franceinfo : Vincent Lemire, historien-professeur à l’Université Gustave Eiffel … BFMTV/RMC : Eric Ciotti, président de l’UDR … Sud Radio : Aurélien Taché, député LFI du Val d’Oise … LCI : Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France.
RECTIF. Oups, Playbook s’est emmêlé les pinceaux : c’est bien Carole Drucker-Godard qui a été nommée directrice de cabinet de la nouvelle ministre de l’Education Anne Genetet et non Rayan Nezzar comme nous l’écrivions hier. Ce dernier, ex-conseiller de Gabriel Attal à Matignon, devrait intégrer l’équipe de Genetet en tant que directeur adjoint du cabinet.
AUJOURD’HUI DANS PARIS INFLUENCE : Une sénatrice et une asso remettent en selle le dossier des eaux minérales “purifiées” … Labos médicaux : les sénateurs veulent encadrer un marché en trop bonne santé … Paris Influ était (c’est tout comme) à la première conf des présidents du Sénat avec Barnier. C’est à 7h30 pour nos abonnés POLITICO Pro.
DANS LE JORF. Edouard Solier est nommé directeur du cabinet de Marie-Claire Carrère-Gée. Arnaud Danjean devient conseiller spécial de Michel Barnier. Catherine Vautrin s’entoure de Georges-François Leclerc, directeur de cabinet et Tristan Delehonte, chef de cabinet. Gaëtan Bruel reste à la direction du cabinet de Rachida Dati. Patrick Pailloux est reconduit comme directeur de cabinet civil et militaire de Sébastien Lecornu, ainsi que le vice-amiral d’escadre Jacques Fayard, chef du cabinet militaire. Quentin Guerineau dirige le cabinet d’Agnès Pannier-Runacher et Laurent Prevost celui de François-Noël Buffet.
MÉTÉO. Comme dirait Thomas Jolly, à Paris, “Il pleut”.
ANNIVERSAIRES : Philippe Nachbar, ancien sénateur … Jocelyne Guidez, sénatrice UC de l’Essonne … Rodolphe Alexandre, conseiller territorial à l’Assemblée de Guyane, ancien président de l’Assemblée de Guyane … Klara Durand, de POLITICO.
PLAYLIST. Signatune de DJ Mehdi (Thomas Bangalter Edit)
Un grand merci à : tous les organisateurs de la soirée POLITICO, nos éditeurs Matthieu Verrier et Pauline de Saint Remy, Sofiane Orus Boudjema pour la veille et Catherine Bouris pour la mise en ligne.
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